KINGNEWSWIRE – Communiqué de presse // Au cœur de Copenhague, un groupe de 15 jeunes activistes âgés de 10 à 20 ans réécrit le récit sur l’autonomisation des jeunes et la santé communautaire. Inspirés par les principes de la Convention relative aux droits de l’enfant et leur foi en l’Église de Scientology, ces adolescents sont à la tête d’une campagne populaire visant à créer un environnement sans drogue. Armés de brochures éducatives de l’initiative La vérité sur la drogue, ils transforment les entreprises locales en centres de prévention, prouvant que l’âge n’est pas un obstacle au changement sociétal.
Des brochures à l’action : un mouvement mené par des jeunes
Depuis plus d’un mois, le groupe visite des magasins à travers Copenhague, obtenant le soutien des propriétaires et des vendeurs pour afficher du matériel de prévention de la drogue aux caisses. Leur approche est simple mais efficace : rendre les informations essentielles accessibles aux clients de tous les jours, en suscitant des conversations sur les dangers de la toxicomanie. « Ce ne sont pas seulement des enfants qui distribuent des prospectus, » dit Giulia, qui les guide dans cette entreprise. « Ils montrent aux adultes qu’ils se soucient de notre avenir et qu’ils en assument la responsabilité. »
Leurs efforts s’inscrivent dans le cadre de conventions internationales telles que la Convention des Nations Unies relative aux droits de l’enfant, qui met l’accent sur la participation des jeunes aux décisions qui affectent leur vie. En s’engageant directement auprès des entreprises, le groupe incarne l’esprit de certains programmes de l’UNICEF, qui donnent aux jeunes les moyens de concevoir des solutions aux défis de la communauté. « Ces adolescents comblent le fossé entre les générations, en veillant à ce que leur message résonne là où il compte le plus », a déclaré Giulia, responsable des affaires publiques de l’Église de Scientology au Danemark.
Faire face à une crise locale avec des leçons mondiales
Le Danemark est aux prises depuis longtemps avec la consommation de drogues chez les jeunes, en particulier dans des quartiers comme Christiania, à Copenhague, où la consommation de haschich serait toujours répandue. La campagne du groupe s’attaque de front à ce problème, en s’inspirant des stratégies mises en œuvre dans d’autres pays, et tente de les appliquer dans tous les autres pays européens, en combinant l’éducation et la sensibilisation communautaire pour lutter contre la dépendance avant qu’elle ne se manifeste.
Leur travail reflète également une vision de soutien au rétablissement et à la prévention, prouvant que l’autonomisation commence bien avant l’intervention en cas de crise. Le programme, l’une des plus grandes initiatives non étatiques de prévention de la toxicomanie au monde, est entièrement financé par les membres de l’Église de Scientology, inspirés par les recherches de L. Ron Hubbard sur la prévention et la réhabilitation de la toxicomanie. Cependant, les adolescents mettent l’accent sur le message universel de leurs documents : les faits sur les risques liés aux drogues, la pression des pairs et les choix sains. « Notre religion nous enseigne à servir les autres, et à le faire avec des informations factuelles », déclare l’un des participants, « il s’agit de sauver des vies, pas de croyances religieuses ».
Un modèle pour l’action des jeunes dans le monde entier
L’initiative du groupe fait écho à de nombreux programmes internationaux, en donnant aux jeunes les moyens de conduire le changement social. En s’associant à des entreprises locales, ce groupe de jeunes Truth About Drugs, récemment créé, encourage une culture de responsabilité collective. Leurs actions font également écho à l’appel de l’OMS en faveur de l’engagement des jeunes dans la promotion de la santé, les positionnant comme des alliés dans les objectifs de santé publique du Danemark.
En inspirant les commerçants et les clients, ces adolescents prouvent qu’une participation significative des jeunes n’est pas un conte de fées. C’est un modèle pour construire des communautés résilientes, une brochure et une conversation à la fois. « Ils n’attendent pas la permission pour changer le monde », déclare Ivan Arjona, représentant de la Scientology auprès de l’Union européenne et des Nations unies. « Ils le font déjà. »
